J'ai encore mis mon nez trop près... {Seymour}

bley's little puppet

Journée qui à bien démarré pour moi aujourd'hui, j'avais eue l'occasion de faire développé mes photos dans le bureau d'un ami et ensuite j'ai pu les reprendres avec moi la soirée. Une fois fais, je descend grâce à l'ascenseur et je regarde l'heure, 23 heure, que le temps passe vite ! Je regarde donc dehors, il fais noir et peux de voiture passe, mon appareil photo dans mon sac, se soir je ne suis pas prête de rentrer chez moi... J'avais une robe blanche avec des volant noir sur le dessous, un petit gilet noir par dessus et mes cheveux était lacher, bien sur s'était pas risqué pour la gorge mais on ne sais jamais...

Devant le grand bâtiment, je regarde à gauche et droite, personne de bizarre dans la rue, je décide donc d'aller dans le parc, la j'entends un cris, je cours donc me cacher derrière un arbre, puis un deuxième, puis un second, arrivé sur les lieux, je prépare mon appareil photo et je vois, deux vampire s'acharné sur une pauvre femme à terre qui bouge encore à peine, c'est la photo du siècle, j'espère juste qu'il seront sur mon objectif. FLASH, photo faites, je regarde mon petit écran et je vois qu'une femme et je remarque un petit truc sur le coté, je regarde devant moi et les deux vampires ont quitté leurs proies, je cours après, j'ai des chaussure de ville plate alors je n'ai pas peur de tomber... Je continue de courir et je ne vois plus personne puis j'entre dans l'ombre d'un arbre à l'abri de la lumière et je percute quelque chose de dure, je tombe à terre et mon coude s'écorche sur une pierre qui traine par la... Je grimace et une douleur vient me piquer le coude, je saigne un peu, je regarde devant moi et je me fais relever d'un coup, je n'ai pas suivis... Je vois deux vampire qui me regarde avec des yeux sombres, la je me dis qu'est ce que je fais?!!

*Oh mon dieu... pourquoi j'ai pas fais plus attention moi !!*

Je racle ma salive dans le fond de ma gorge, l'un d'eux me touche le coude et il lèche mon sang, je fais tout pour enlever mon coude mais il me tiens fermement.. je n'arrive pas à me dégager, je donne des coups de pieds sur celui d'en face, impossible, il n'y aurai t'il pas un traqueur de vampire par ici?!!

. i live in Salem .

La nuit était noire, sans lune. Un léger vent passait entre les rues de la ville endormie : il lui semblait entendre une radio dans un building, au deuxième étage, un air à la Bowie, ou des Kinks. Du bout des doigts, la tenant comme s'il s'agissait d'un être humain, une cigarette se consumait et entraînait ses volutes dans un ballet aérien : sur le toit d'un hôtel, les pieds dans le vide, Seymour laissait son âme en liberté, défiant le ciel sombre et profitant de l'absence du soleil mauvais. Salem était si belle, parfois il la rêvait en pleine journée, l'imaginait sous le croissant doré avec ses voitures, ses habitants, ses mères qui traînaient leurs enfants devant elles, et puis cette sensation vivante qui devait courir d'une avenue à une autre comme un courant électrique. Et là, maintenant, il n'y avait que sa forme qui se découpait à peine tant les lampadaires étaient bas et sa forme confuse. Seymour ne s'était pas encore nourri, ses dents se promenaient jusqu'à ses lèvres et son attention qui semblait indifférente captait le moindre frisson de la ville. Un cri résonna ; il se laissa tomber du toit.

Le parc était douloureux pour lui, c'était une plaie qui continuait à l'affecter, une douleur chronique et jusqu'à présent il avait toujours veillé à éviter de fouler le gazon de ce lieu. Parfois, il lui semblait encore sentir le parfum de Bleynhe. D'un mouvement de la tête, il chassa ces visions et tira une nouvelle bouffée sur sa clope. Son regard enregistra les différents protagonistes du parc, deux vampires jouaient avec une poupée désarticulée (une humaine en train d'agoniser) et ... une âme innocente. Un sourire se découpa sur ses lèvres ; au détour d'un arbre, il disparait à nouveau. Cinq minutes plus tard, comme il s'y attendait, la malheureuse inconsciente faisait face aux deux vampires (il ne les connait pas, des nouveaux venus certainement) et commença très vite à sentir le piège dans lequel elle venait de mettre les pieds. Le sang dont elle perd déjà n'est qu'une invitation de plus pour les deux prédateurs.

« Lâchez-la. » fit-il d'une voix à peine audible, se retrouvant derrière ses frères et jetant un regard froid à l'inconnue. Ils étudient son ordre, l'un des deux interroge des yeux l'autre : « Et je ne suis pas patient. » continua-t-il.

Les vampires hésitèrent, pris dans la fougue de leurs nouvelles immortelles mais ils se savent non maîtres de la ville, et l'aura ancien qui entoure Seymour. D'un mouvement de la main ce dernier insista à nouveau sur leurs départs qui s'effectuent cinq secondes plus tard, tout d'abord mollement avant qu'ils ne disparaissent rapidement dans l'obscurité à l'horizon. Seymour les regarda ainsi, ne reportant son attention qu'après un léger silence. Il ne commet que deuxpas et se retrouve déjà à moins d'un mètre de l'inconnue ; il l'étudia de bas en haut.

« C'est dangereux, et inconscient de traîner seule dans la nuit. Salem n'est pas un lieu touristique lorsque le soleil se couche. C'est une blessure légère, mais elle a tendance à éveiller aisément l'attention des fils de la nuit. »

Ses prunelles semblaient brûler dans leurs orbites tandis qu'il penchait la tête sur le côté ; il garde une certaine distance avec la jeune femme même s'il a déjà le désir de la mordre au cou.

« Je suis Seymour Cadwel, et tu es? Donne-moi ton appareil photo, il ne te sera d'aucune utilité et tu le récupèreras seulement si j'en vois un intérêt particulier. Je pourrai te le prendre de tes mains mais crois-moi, il ne vaut mieux pas que je sois obligé de te toucher : j'ai tendance à laisser mes dents s'égarer... »

Malgré l'obscurité du lieu, on pouvait voir sa main tendue et ouverte vers la jeune femme et le sourire qui s'imprégnait sur le coin de ses lèvres.

bley's little puppet

Mon regard restais posé sur le vampire qui me lèchais le sang, je sentais du dégout monté en moi, jamais cela ne m'était arrivé et je dois dire que je ne voudrais pas qu'une autre fois s'en suit.
Quelque minutes plus tard, alors qu'une voix brise l'obscurité, les deux vampires s'arrête et une autre personne apparaît, pour moi c'est mon sauveur, un traqueur surement?! Mais non, il les averti, il ne les attaquent pas, pourquoi?! Je le regarde et quand les deux vampires s'éloigne, je le regarde me parler, sa voix est un peu mélodieuse. Je remet mon gilet et j'essaye de na pas toucher la plaie car malgré que s'est petit sa pique comme une grosse blessure. Je le regarde, il me dis que s'est dangereux et inconscient de trainer dans Salem la nuit, je le regarde un sourire en coin, je ne sais pas encore sa vrai nature alors, je le prend pour un humain.

"Je connais Salem et le soir, le parc est mon endroit préféré, je peux dire que je connais les danger, seulement cette fois-ci je n'ai pas calculer mon cou, c'est parce que sur mon appareil photo j'ai vue, quand j'ai fais ma photo qu'il y avais quelque chose qui..."

Je le regarde, pourquoi je lui raconte la vie de mon appareil photo, je me redresse, me recoiffe d'un coup de main dans mes cheveux et il se présente, je le regarde et je fais un petit signe de main.

"Enchantée Seymour, Moi c'est Serena."

Je le vois rester à l'écart, je me demande pourquoi, puis il me demande de lui passer mon appareil photo, pourquoi le veut-il? Puis en continuant de sa voix Mélodieuse à mes oreilles, il me dis ensuite qu'il ne vaus mieux pas qu'il me touche sinon ses dents pourrais bien s'égarer, j'imagine un peu la scène mais je ne me laisserai pas faire, Bleynhe l'a pris une fois, un autre vampire ne l'aura pas dans ses mains.

"Pour... Pourquoi faire?! Jamais je ne vous le passerais."

Bien sur je le vouvoie, pour moi il est plus âgé et je ne le connais pas personnellement comme je connais Elena.

. i live in Salem .

Sweety doll, il ferait peut être mieux de la tuer. Avec une humaine, candide, il n'y avait rien à espérer. Elle n'avait pas tout de suite perçue son aura dangereux, l'absence de ses battements cardiaques régissant dès lors un mal insondable. Seymour soupira. Le fait de lui avoir sauvé la mise n'allait pas suffire à s'attirer un tant soi peu de clémence, tout du moins d'obéissance : il avait déjà entendu des histoires sur des vampires fraternisant avec des humaines, les laissant humaines et mortelles pour mieux s'en servir, mais cela n'était pas dans sa nature propre.

S'il savait que cette fille avait traîné avec Bleynhe, peut être aurait-il éprouvé un léger recul, une certaine 'estime' pour son existence mais sans ce savoir, Serena lui est aussi utile que dans un cercueil ; si ce n'est que dans un cercueil il n'aura pas à l'entendre parler. Pour seule réponse à son refus de lui conférer son appareil photo, il offre son regard le plus froid et songe à ses dents sur sa peau pâle. Aux deux trous ensanglantés qui pourraient se former si aisément. A la chaleur de son sang, et aux frissons qui la traverseraient. Sans s'en rendre compte, il s'approche encore un peu, s'arrêtant finalement et prenant une inspiration froide pour mieux apaiser ses pensées troubles.

« Tu connais l'existence des vampires et tu es toujours en vie... Remarquable, même si cet exploit risque de prendre fin ce soir. J'ai empêché que l'on te tue mais cela n'implique pas forcément que tu ressortes en bonne santé. Assis-toi sur ce banc, celui-ci : essaye de fuir une seule fois et ta gorge va souffrir, crois-moi. »

D'un mouvement de la main, il l'invita à prendre place sans toutefois véritablement s'approcher ; son appétit a grandi et malgré l'expérience, Seymour a toujours une certaine impatience quant à se nourrir au plus tôt et le coude de Serena est un appel délectable. Il la regarde obtempérer, restant silencieux tout en passant sa langue sur ses dents.

« Je ne veux pas t'entendre supplier, gémir, ou pleurer. Dis-moi qui te protège jusqu'à présent dans les rues de Salem, tu ne peux pas avoir échapper aux vampires aussi facilement sans l'aide ou la clémence de l'un d'eux. Et pose ton appareil photo par terre, je ne le répèterai pas. Il y a certains clichés, notamment ceux de la jeune femme morte que tu as pu apercevoir, qui ne doivent pas être librement diffusés. Il y a déjà assez d'individus en chasse des vampires, même si ces photographies ne peuvent nous faire apparaître elles ont le pouvoir de donner du crédit aux illuminés. »

Il resta debout, face au banc, comme juge de l'enfer. Serena ne lui plaisait pas jusqu'à présent, trop inconsciente à ses yeux, et loin du caractère froid et puissant qu'il appréciait : le souvenir de Bleynhe flotta à nouveau dans son esprit avec une force peu commune.

« Est-ce que quelqu'un est au courant de ta présence en ce parc, Serena? »

La seule chose qu'il appréciait d'elle, c'était le fait qu'elle le vouvoie : une certaine marque élégante.

bley's little puppet

Je le regarde faire, rien que de voir une petite lueur sur ses dents me fit frissonné, c’est assez embarrassant comme situation, je ne pensais pas un jour m’y fourré… Je le regarde toujours, ne disant rien, je l’écoute. En tout cas lui c’est sure, il ne me laisserait pas m’enfuir, j’ai peut-être sous estimer ce vampire… Il à aussi parler que ses dent allais surement s’égaré, bien sur, je n’aime pas quand on me provoque comme sa, car je suis consciente de leurs existence, mais contrairement au autres, je n’ai aucune armes contre eux, car ce n’est pas dans mon intérêt ! Je le regarde alors, je ne souris plus, je suis neutre, j’ai un peu peur et on va dire que mon petit cœur commence à battre un peu plus fort, je sens les battements dans mon coude et cela me fais grimacer.
Dès qu’il m’invite à prendre place sur le banc, je ne refuse pas car ses paroles me font un léger froid dans le dos. Je prends place, je l’écoute toujours. Bien sur, j’ai une grande bouche et je suis têtue, alors il faut que je réponde :

«Oui, je connais l’existence des vampires, c’est pour cela que je sors dans le parc le soir, la journée sa ne sert à rien, personne ne sors à cause du soleil, alors le soir s’est ma passion… »

Je le regarde toujours, restant assise sur le banc froid, je regarde à terre, je n’aime pas qu’on m’observe, je soupir un peu, il faut dire que j’ai peur alors je dois faire genre « je m’ennuie ici ».. Je regarde mon appareil dans mes mains puis il reprend la parole.

«Oh, je ne vous supplierai pas, ne pleurerai pas ni ne crierai, sa pourrais faire venir d’autres vampire et vue que vous êtes, ce soir, le seul à résister à mon sang, je ne vois pas pourquoi je me mettrais plus en danger. »

Je le regarde toujours puis je pose mon appareil photo à terre et je laisse échappé un petit rire de ma bouche

«Il ne faut pas stresser, il n’y à cas une personne que je montre mes clichés et elle connait l’existence des vampires elle aussi.»

Je souris en coin un peu pour le narguée et je l’écoute parler une seconde fois. Il est devant moi, debout, il est imposant en tout cas.. Il me demande si quelqu’un sais que je suis ici. Je le regarde.

«Pourquoi voulez-vous savoir ?»