¬ MY LITTLE CONFESSION

Je suis un vampire et c'est un fait. Mais l'explication moderne du mot vampire, les histoires qui ont été raconté au delà du temps à propos des créatures telles que moi, ne sont pas spécialement vrai. Je ne peux pas voler, ni commander une meute d’animaux sauvage. Ni créer un autre dans mon genre rien quand lui faisait boire mon sang. Les loups m’adore, un peu comme tout les prédateurs, et je peux sauter si haut qu’on a souvent l’impression que je vole. Pour le sang…et bien…le sujet entier me fascines. J’adore ça aussi, si chaud et qui coule goute à goute quand j’ai soif. Et j’ai souvent soif….

Je m’appelle à présent, Bleynhe Skye Dunham- juste trois mots, facile à mémoriser que j’utilise depuis plusieurs décennies. Je ne suis pas attacher à eux tout comme je ne le suis au vent. Mes cheveux sont blond, d’un blond comme un champs de blé, et mes yeux sont d'un gris metallique…d’un gris electrisant. Je ne suis pas bien grande sur mes 1 mètre 70 même si mes bras sont un peu plus musclé que les jeunes femmes de 22ans. Avant que je ne parle, on me prendrait bien pour une jeune fille d'à peine 18 ans, mais quelques chose dans ma voix-l’expression calme de mon visage, l'écho de mes expériences sans fin-fait penser au gens que je suis bien plus vieille.

Ai-je besoin de sang pour survive ? Suis-je immortel ? Après tout ce temps, je l’ignore. Je bois du sang, simplement parce que j’en ai envie. Mais je peux normalement manger de la nourriture, et le digérer. J’ai besoin de nourriture comme tous les hommes et les femmes sur cette terre. Je suis un être vivant qui respire tout comme les autres. Mon cœur bats- je peux l’entendre à présent, comme un orage à mes oreilles. Mon audition est désormais sensible, tout comme ma vue. Je peux entendre une feuille morte se détacher d’une branche à des milliers de kilomètres et je peux apercevoir les cratères de la lune sans même avoir besoin d’un télescope. Ces deux sens ont accrues au fil du temps et ils continuent de s’accroitre à chaque fois que je deviens vieille.

Quand a mon système immunitaire, il est impénétrable, mon système régénératrice miraculeux, si vous croyait au miracle-chose que je ne crois pas moi même. Je peux me prendre un couteau dans le bras et cicatriser en moins d’une minute sans laisser de trace. Mais qui me poignarderait ? Qui aura cette chance ? J’ai la force de dix hommes, le réflexe d’une panthère. Il n’y a pas un système de défense ni d’attaque que je ne peux contrer. Une douzaine de ceintures noires pourraient très bien me coincer au fond d’une ruelle que je pourrai tout les tuer, dans un quart de seconde. Et j’adore me bagarrer, c’est vrai, tout comme j’adore tuer. Cependant, je tues de moins en moins plus les années passent parce que l’envie n’y est plus. Certains amours sont a donner tandis que d’autres sont a oublier. Aussi étrange que cela puisse paraitre, si vous pensez de moi comme un monstre, je peux aimer passionnément. Je ne pense pas de moi comme étant quelqu’un de maléfiques.

¬ THE REAL PART

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J'ouvris les yeux d'un mouvement brusque, et regarda le plafond – qui était bien trop proche de moi pour en être un - légèrement ébahi. J'essayai de bouger, mais l'espace confiné dans lequel je me trouvais était bien trop étroit pour que je puisse faire quel mouvement que ce soit. Ma respiration s'accéléra. J'ouvris la bouche, mais aucun son ne sortit. De mes poings frêles, je tapais contre le plafond de cet habitacle avec une certaine frénésie. J'étouffai et ma respiration était saccadée. Sortir d'ici et vite. Je frappai de nouveau, mais mes poings n'arrivaient même pas à produire un quelconque son. Je sentis un courant d'air glacial entourer mon corps et pourtant quelque goutte de sueur perlés sur mon front. Je tournai la tête de gauche à droite plusieurs fois sans pour autant arrivé à voir quoi que se soit, éblouie par la panique qui me submerger.

« Hey ! Can anyone hear me ? Please ! Get me out of there ! » J'arrêtai de crier lorsque j'entendis des bruits de pas qui se rapprochaient. Le bois craquer sous le poids de la masse corporelle qui se diriger vers moi. Je ne sus pourquoi, mais cela ne me plaisait guère de me savoir pris au piège et que quelqu'un venait vers moi. Qu'allait-il faire ? Un frisson parcourut mon échine dorsale et je retins mon inspiration lorsque je l'entendis ouvrir le couvercle de cet habitacle - je ne me doutais toujours pas où je me trouvais d'ailleurs - et posais ses sales yeux de pervers sur moi. « Hey vieux, elle est enfin réveillée. » il s'était adressé à je ne sais qui, mais son regard n'avait toujours pas quitté mon corps. Son attitude me dégoutait au plus haut point, mais en même temps j'étais effrayée. Où suis-je et qu'est-ce qu'il s'était passé ? Un épais brouillard voilait mon esprit et je ne me rappeler plus comment j'étais venue ici. « Alors ma jolie, tu as bien dormi ? » Il souriait et me dévoilait par la même occasion ses crocs aiguisés. Un frisson parcourut tout mon corps alors que ma respiration s'accéléra de nouveau et j'essayai de sortir de - oh mon dieu c'était un cercueil - à cette simple révélation, mon estomac se retourna et je me retenais pour ne pas dégobiller.

Tout m'échapper et je ne comprenais plus rien. La main de l'homme en face de moi, m'agrippa le bras et d'un simple mouvement me levai et me posai sur le parquet qui craquait de nouveau. Je le regardai en écarquillant les yeux. « Qui êtes-vous ? » Je les regardais à tour de rôle avec un regard d'incompréhension. Effrayai, je vis l'autre homme qui se rapprochait à son tour de moi et passait une main sur ma joue. Tétaniser, je ne bougeai plus et fermai même les yeux, trop effrayait pour le regardait dans les yeux. « Tu es encore plus belle que lorsqu'on nous t'avons trouver. Tu ne trouves pas Aleksandr ? » J'ouvris de nouveau les yeux et vis son regard toujours sur moi et son doigt descendre le long du cou. Instinctivement, je reculai de quelques pas et leur lançai un regard noir. « Que me voulais vous ? Et pourquoi vous m'avez emmené ici ? » dis-je finalement sur un ton faussement assuré ce qui eu dont de faire rire mes vis à vis. D'un rire cristallin qui me fit frissonner. « Tu es vraiment naïve dis moi ? Tu ne te doutes pas de qui nous sommes ? Tu dois bien avoir une petite idée ? Viens par ici et on te racontera tout. » Le dénommé Aleksandr me prit par la taille et sans que je puisse me défaire de son étreinte, me guida vers la seule table de la pièce et me fit asseoir de force sur une des chaises. «Sale brute » lançai-je violemment à son intention, oubliant que j'étais à leur merci. Il s'installa à son tour en face de moi sans broncher avant d'être rejoint par son acolyte.

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